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L’Italie libéralise les casinos en ligne, à quand la France ?

16/03/11

France

En juin 2010, quand notre cher gouvernement s’est enfin décidé à libéraliser le marché des jeux d’argent sur Internet, il a eu la brillante idée de ne pas inclure dans le texte de loi le secteur du casino en ligne, comme je le déplorai dans ce billet.
Cette malencontreuse omission a engendré le départ soudain de notre beau pays de la grande majorité des sites leaders de l’industrie.
C’est bien simple, des grands anciens, il n’en reste plus qu’un seul : Casino Solera.
Heureusement, quelques récents casinos de grande qualité ont décidé de rester en France comme 7Red ou Win Palace.
En outre, nous pouvons aussi compter sur l’arrivée de quelques nouveaux entrants des plus prometteurs tels notamment Tropezia Palace, Mona Casino, Topaze Online (présenté dans cette actu) ou La Riviera (accueilli ici).
Malgré ce paysage français du casino en ligne déserté et donc assez morose, je ne puis m’empêcher de rester optimiste et ce n’est pas seulement en raison des quelques excellents sites qui s’apprêtent à débarquer dans l’hexagone comme annoncé dans cet article.
En effet, il devient de plus en plus crédible de croire en la prochaine libéralisation des casinos virtuels déjà évoquée .
Le 7 décembre 2010, je vous annonçais à travers ce texte que l’Italie s’apprêtait à modifier sa loi sur les jeux en ligne en légalisant le poker et le casino en cash games.
Et bien, ça y est, le fameux décret a enfin été publié dans la Gazetta Ufficiale, l’équivalent transalpin de notre Journal Officiel.
Cette nouvelle peut sembler assez anecdotique au premier abord mais elle ne l’est pas du tout en vérité pour tous ceux qui connaissent un peu l‘histoire de la loi française qui encadre le secteur des jeux d‘argent sur Internet.
En effet, notre gouvernement a beaucoup échangé avec son homologue italien lors de la préparation de sa réglementation.
Ainsi, une telle évolution chez nos amis romains pourrait donner des idées à notre petit chef gaulois.
D’autant que le nouveau décret devrait permettre de doubler le chiffre d’affaires du secteur d’ici 2012, en Italie.
Quand on sait que l’ouverture à la concurrence des jeux d’argent sur Internet n’a pas rencontré le succès escompté en France, il est tout à fait possible d’espérer que nos hommes politiques essaient de doper le secteur en libéralisant les casinos virtuels.
Si l’ancien grand méchant devient le sauveur du marché en péril, je ne pourrai que me réjouir de m’adonner à nouveau en mode réel au Seigneur des Anneaux de Microgaming, à Gladiator de Playtech ou à Gonzo’s Quest de Netent sur des sites de la trempe de Golden Riviera, Europa Casino ou Casino Euro.
En attendant ce jour béni où notre passion sera enfin libéralisée, je me console sur Tropezia Palace où je peux jouer en mode payant au meilleur jeu de l’année 2010 tout logiciel confondu : le démentiel Mr Vegas.
Preuve que libéralisation ou pas il reste encore de quoi se réjouir en France et ce ne sont pas les machines à sous de Rome Casino ou les jeux live de DublinBet par exemple qui me feront mentir.

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Posté par : lemonade
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