Le Portugal pourrait libéraliser les jeux en ligne d’ici fin 2014
Au cours de l’année 2013 déjà, nous vous indiquions que le Portugal projetait de libéraliser les jeux d’argent en ligne sur son territoire.
Ce projet a refaire parler de lui, durant le mois de juin dernier, lorsque le gouvernement du pays a fait savoir qu’il travaillait activement à la rédaction du fameux texte de loi.
Puis, il semble maintenant se concrétiser encore d’avantage avec une récente annonce d’Adolfo Mesquita Numes.
Ce secrétaire d’Etat vient en effet de certifier que le secteur sera réglementé dans le pays d’ici la fin de l’année 2014.
Ci-dessous nous allons revenir sur les déclarations de cet homme politique.
Un délai de 150 jours pour écrire le texte de loi définitif
Le parlement du Portugal vient juste de voter le fameux projet de loi de libéralisation du marché des jeux d’argent national.
En conséquence, le gouvernement dispose désormais d’un délai de 180 jours pour écrire le texte définitif de la mesure.
Ce dernier doit notamment fixer le taux d’imposition, le processus de demande de licence ainsi que les sanctions prévues pour les opérateurs non agrées qui continuent à proposer leur offre dans le pays.
Un ouverture début 2015 semble plus réaliste
Adolfo Mesquita Numes vient donc de certifier que le secteur des jeux d’argent en ligne sera officiellement libéralisé d’ici la fin de l’année 2014.
Cependant, malgré ces récentes déclarations, de nombreux observateurs au niveau européen remettent en question la capacité des représentants du gouvernement portugais à écrire le fameux texte de loi à temps pour le délais annoncé.
Ainsi, la plupart des experts estiment plutôt que le secteur sera ouvert au premier trimestre 2015, ce qui s’impose comme un objectif plus réaliste.
Une tendance forte au sein de l’Union Européenne
Si le Portugal ouvre bien son marché des jeux d’argent en ligne, comme cela est prévu, le pays suivra une tendance forte au sein de l’Union Européenne.
En effet, de nombreux pays ont déjà sauté le pays.
Citons notamment la Grèce, l’Espagne, la Belgique ou encore la France.
Il existe aussi beaucoup d’Etats membres qui travaillent actuellement sur des projets comparables à celui du Portugal comme par exemple la Hollande.